Dans l'ombre des étoiles Trois destins de jeunes joueurs qui jouent sincèrement, entièrement, de toutes leurs tripes sur le terrain. Mais qui sont souvent pris dans les filets complexes de l’intérêt financier ou sportif, des ambitions de coachs, des nécessités familiales, ou de leur propre immaturité. Cette série, qui s’appuie sur l’expérience unique de Stéphane Pauwels, dévoile la face cachée du sport le plus populaire de la Planète. Des joueurs adulés, des symboles, les dieux du stade ! Mais aussi de très jeunes gens qu’on trimballe d’un club à l’autre, d’un pays à l’autre, et souvent pas si loin de la précarité.
Onze C'est un tout petit club de Flandre qui se retrouve en demi-finale de la Coupe d'Europe, face à l'AC Milan. C'est le choix d'une stratégie du côté flamand: onze hommes sur le terrain et personne sur le banc. Il n'y aura pas de remplacements. C'est l'histoire d'un pari fou, de l'improbable rencontre entre David et Goliath.
Mot de l'éditeur : 13 mai 1506, un certain Michelangelo Buonarotti débarque à Constantinople. A Rome, il a laissé en plan le tombeau qu'il dessine pour Jules II, le pape guerrier et mauvais payeur. Il répond à l'invitation du Sultan qui veut lui confier la conception d'un pont sur la Corne d'Or, projet retiré à Leonardo da Vinci. Urgence de la commande, tourbillon des rencontres, séductions et dangers de l'étrangeté byzantine, Michel Ange, l'homme de la Renaissance, esquisse avec l'Orient un sublime rendez-vous manqué. Par l'auteur du très remarqué "Zone" (prix Décembre 2008 et prix du livre Inter 2009).
Mot de l'éditeur : Le livre raconte Bruxelles et son eau. Il parle de cours d'eau disparus, de rivières voûtées, de luttes et de conquêtes sociales, d'égouts, du canal et de son port, du 'prix' de l'eau de robinet.Il raconte aussi du travail des femmes et des hommes qui, surtout en sous-sol, assurent le 'miracle' quotidien qui permet à plus d'1 million de personnes d'avoir accès à l'eau en permanence de bonne qualité pour la vie à un coût public (sans profit) dérisoire en comparaison au prix marchand juteux de l'eau minérale en bouteille (aux mains de compagnies multinationales privées). Partie intégrante de la Campagne européenne 'L'eau bien commun', le livre se veut une invitation à réapprendre à aimer l'eau, à revaloriser sa place 'publique' dans notre vécu quotidien, pour redessiner une autre ville enfin réconciliée avec la nature et, grâce aussi à cela, entre ses habitants.
Mot de l'éditeur : C'est une chose étrange à la fin que le monde Il y a quelques années, Jean d’Ormesson a publié Une autre histoire de la littérature française. Voici une autre histoire de la philosophie.
Qu’est-ce que la vie et d’où vient-elle ? Comment fonctionne l’univers ? Pourquoi y a-t-il quelque chose au lieu de rien ? Des mathématiciens aux philosophes grecs, à Einstein et à la théorie des quanta, en passant par Newton et Darwin, voilà déjà trois mille ans que les hommes s’efforcent de répondre à ces questions. L’histoire s’est accélérée depuis trois ou quatre siècles. Nous sommes entrés dans l’âge moderne et postmoderne. La science, la technique, les chiffres ont conquis la planète. Il semble que la raison l’ait emporté. Elle a permis aux hommes de remplacer les dieux à la tête des affaires du monde. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Dieu est-il à reléguer au musée des gloires étrangères et des puissances déchues ? La vie a-t-elle un sens ou est-elle une parenthèse entre deux néants ? Est-il permis d’espérer quoi que ce soit au-delà de la mort ?
Madame Bovary C'est l'histoire d'une femme mal mariée, de son médiocre époux, de ses amants égoïstes et vains, de ses rêves, de ses chimères, de sa mort. C'est l'histoire d'une province étroite, dévote et bourgeoise. C'est, aussi, l'histoire du roman français. Rien, dans ce tableau, n'avait de quoi choquer la société du Second Empire. Mais, inexorable comme une tragédie, flamboyant comme un drame, mordant comme une comédie, le livre s'était donné une arme redoutable : le style. Pour ce vrai crime, Flaubert se retrouva en correctionnelle. Aucun roman n'est innocent : celui-là moins qu'un autre. Lire Madame Bovary, au XXIe siècle, c'est affronter le scandale que représente une ?uvre aussi sincère qu'impérieuse. Dans chacune de ses phrases, Flaubert a versé une dose de cet arsenic dont Emma Bovary s'empoisonne : c'est un livre offensif, corrosif, dont l'ironie outrage toutes nos valeurs, et la littérature même, qui ne s'en est jamais vraiment remise.
Le CPAS de Bruxelles possède un patrimoine immobilier provenant d'un héritage séculaire.
Le photographe Marc Detiffe dévoile toute la richesse architecturale, non seulement des bâtiments emblématiques, mais aussi des nouveaux logements, 'Les 1.000 logements', tous lieux de vie et de cohésion sociale. Des articles d'auteurs internationaux et belge évoquent la politique foncière et urbanistique du CPAS ainsi que son implication dans l'architecture durable. Une présentation historique introduit chaque section.
L'originalité de ce 'beau livre' réside, notamment, dans la présentation territoriale du patrimoine bruxellois au départ des antennes sociales. Ces dernières sont un foyer de rayonnement d'une nouvelle organisation sociale, économique et culturelle de la ville.