Podcasts

Les Podcasts de la librairie Filigranes à Bruxelles. Coups de coeur et rencontres avec des auteurs.

Nicolas Crousse, "Les magnifiques", Anabet

Magnifiques

En mars 2010 disparaissait Jean Ferrat, légende de la chanson française suscitant une véritable renaissance de cette génération de chanteurs engagés auprès du public. Les radios passaient en boucle les tubes de ces chanteurs anars. Un véritable phénomène de societé que Nicolas Crousse souhaite aborder dans ce document en dressant un portrait de groupe foisonnant d'anecdotes de ces poètes qui ont emergé après la seconde guerre mondiale : Jacques Brel, Léo Ferré, Barbara, Serge Reggiani, Georges Brassens, Juliette Gréco, Serge Gainsbourg, Boris Vian, Yves Montand, Charles Aznavour, Claude Nougaro ou encore Jean Ferrat.

Férus de poésie, puisant leur source d’inspiration chez Aragon, Baudelaire, Rimbaud, Prévert, ils sont communistes ou pacifistes et n'hésitent pas à prendre des positions radicales en affirmant leur engagement dans leurs chansons.

L’URSS d'Yves Montand, les cocos de Jean Ferrat, La Marseillaise de Serge Gainsbourg ou encore l'appel à la désertion de Boris Vian, autant d’hymnes à la liberté pour des chansons devenues cultes. Chanteurs également de l'émotion, ils célèbrent la passion amoureuse avec fougue et panache.

Ce livre sera accompagné d'une sélection de chansons :
La chanson des vieux amants, musique de Gérard Jouannest et de Jacques Brel, textes de Jacques Brel. Interprètes : Michel Jonasz, Marc Lavoine, Maxime Le Forestier, Liane Foly, Jean Louis Aubert, Muriel Robin.
Le Déserteur, musique d'Harold Berg et de Boris Vian, textes de Boris Vian. Interprètes : Serge Reggianni, Eddy Mitchell, Richard Anthony.
Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Musique de Léo Ferré, textes de Louis Aragon. Interprètes : Léo Ferré, Bernard Lavilliers, Jacques Prévert. Il n'aurait fallu, musique de Léo Ferré, textes de Louis Aragon. Interprètes : Léo Ferré, Jacques Loussier.
L'étrangère, musique de Léo Ferré, textes de Louis Aragon. Interprètes : Léo Ferré, Bernard Lavilliers, Stéphane Sanséverino.

Alain Trellu, "Urbanitude", Renaissance du livre

Urbanitude

A peine arrivé à Bruxelles, Alain Trellu fut immédiatement conquis par l'éclectisme de son paysage urbain. Très vite, il a saisi les lignes audacieuses de son patrimoine architectural.
Aucune photographie n'est truquée. Les reflets sont authentiques, pris sous des angles improbables, voire invisibles au premier coup d'oeil. Parfois, l'auteur n'a fait que révéler les couleurs d'origine estompées par le temps.
Alain Trellu a également voulu que d'autres s'approprient ses clichés. Il les a proposés à des auteurs, tous amoureux de Bruxelles. Alain Berenboom, Vincent Engel, Bert Kruismans, Caroline Lamarche, Jacques Mercier, Pierre Mertens, Patrick Weber... ont choisi la photo qui leur parlait et ont composé un texte.
Découvrez ou redécouvrez Bruxelles sous un angle et des couleurs inédits !

Alain Trellu présente, John Gage, "Turner", Citadelles & Mazenod

Turner

Joseph Mallord William Turner (1775-1851) est, avec John Constable, son contemporain, le plus grand peintre anglais du XIXe siècle.
Fils d'un barbier-perruquier londonien, il s'illustre d'abord par ses aquarelles de paysages qui lui valent bientôt une solide réputation et la protection de riches mécènes. A 26 ans, il est le plus jeune artiste jamais élu à la Royal Academy. Commence alors une longue et prolifique carrière. Admirateur des grands paysagistes anglais et hollandais mais aussi des peintres français du XVIIe siècle, Poussin et le Lorrain, il travaille à des compositions à l'huile plus ambitieuses où une nature poétisée aux lumières vaporeuses sert de cadre à des épisodes mythologiques ou historiques.
Son goût du sublime le conduit bientôt à privilégier dans la nature ses aspects dramatiques ou les plus grandioses : coucher de soleil, reliefs abrupts, avalanche, tempête, incendie lui permettent de déployer toutes les ressources de son art. Carnet de croquis en main, il n'aura de cesse de parcourir la Grande-Bretagne, mais aussi l'Europe, des Alpes aux rives du Rhin, de Calais à Rome, de Nantes à Venise en quête d'émotions visuelles propres à nourrir ses recherches picturales.
Sous son pinceau, les miroitements à la surface de l'eau, le ciel et ses infinies variations deviennent le motif d'innombrables études. II échappe peu à peu aux traditions académiques, ses réflexions sur la composition et la couleur le conduisant à l'invention de formes radicalement nouvelles. Sa peinture capte désormais des impressions, des atmosphères fugitives, jouant d'une palette claire et lumineuse, où les formes perdent leurs contours, où les figures se font évanescentes.
Cet embrasement progressif donne à ses sujets une dimension onirique et fantastique dont ses contemporains ne saisiront pas la portée visionnaire, à l'exception notable de John Ruskin qui, dès 1840, le hisse au panthéon des artistes anglais. A sa suite, Moreau, Monet, Pisarro, Renoir ou Ensor... prendront la mesure de la modernité du peintre. Dans ce livre, John Gage retrace brillamment le parcours intellectuel et les centres d'intérêt qui ont nourri l'oeuvre de Turner : son insatiable curiosité pour l'histoire et les sciences, sa passion de la littérature et de la mythologie.
sa quête infinie de la couleur à travers les voyages et la recherche théorique. Par une approche thématique, il explore son génie à sublimer l'héritage des maîtres du passé pour ouvrir à la peinture des horizons singuliers.

Patrick Roger, Jean-Marc Dimanche, "En quête de chocolat", Chêne

Enquetechocolat

Patrick Roger est un artiste chocolatier. Sculpteur de goûts, il travaille le chocolat comme une matière brute qu’il transforme en pièces géantes de 80 kilos ou en bonbons emballés dans des boîtes longues d’un mètre. L’univers gourmand de Patrick Roger émerveille par la finesse des goûts, par l’association des textures, par l’esthétique sublime des créations, et propose un raffinement d’excellence. Sans cesse en quête d’innovation et de perfection, il aime créer la surprise tant avec de subtiles alliances qu’avec de majestueuses sculptures. Cet été, ce chocolatier sculpteur avait transformé ses vitrines en véritables galeries d’art ouvertes sur la rue aux regards des passants : pour illustrer parmi les maux de la Terre, la déforestation et ses conséquences tragiques, qui interpellent et inquiètent, menaçant des espèces animales essentielles à la survie harmonieuse de la Terre, orang-outans, gorilles, ours blancs et éléphants, sculptés dans de monumentales pièces de chocolat, ont ainsi peuplé les vitrines des 7 boutiques de Paris, Sceaux et Saint-Germain-en-Laye.

Collectif, "Soldes fins de séries , T2", La Cinquieme Couche

Solde2
Mot de l'éditeur :
Le sommaire du deuxième opus de l'Almanach Soldes Fins de Séries rassemble le meilleur des illustrateurs inédits ou peu connus de l'année, rencontre des écrivains, des journalistes, des artistes, des philosophes de la manière la plus choc et la plus complice avec Marc Borgers, le DA / rédac chef, en activateur de la charnière entre le visible et le lisible. Grand Format, histoires, reportages, BD inédites, journalistes stressés (les neurones de l'empathie s'usent) et philosophes optimistes (la fin du consumérisme), économistes socios et botanistes fous, la guerre des carnivores et des végétariens.

Alexandre Laurent, "40 ans dans le ciel de Wallonie", Arcadia be

Wallonie
Mot de l'éditeur :
Pour découvrir les fines subtilités liées à la métamorphose du Sud de notre pays, le photographe Alexandre Laurent et son fidèle pilote Pierre Schoemans, offrent, cette fois, une collection de photos comparatives où le lecteur attentif posera, sans aucun doute, un regard attendri sur les changements intervenus, tout au long de ces années en Région Wallonne. Ces images ont le mérite, 40 ans après, d'être issues de la même origine : Alexandre Laurent a effectivement grandi dans la photographie, son père était, tout comme lui, photographe et s'était lancé dès le début des années 70' dans la magnifique aventure des photos aériennes. Quarante ans plus tard, emmené par le même pilote ( !), le fils suit les traces du père et retrouve ainsi la Wallonie sous les mêmes angles de vue. Résultat : une passionnante reconstitution, une oeuvre unique où se mêlent précision du pilotage et photographie méticuleuse.

Dans cet ouvrage, nul doute que les témoignages-interviews des personnalités wallonnes de souche ou d'adoption apportent leur propre vision sur la ville et la campagne, un humanisme et un éclairage sur une région qui mérite vraiment le détour. Alexandre Laurent commente les mutations qu'il a observées, il parle d'une juste évolution en prenant un peu de... hauteur. Il observe le changement positif au niveau urbanistique et architectural, nécessaire au développement de toute cette région.

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Dominique Abel, Fiona Gordon, "La Fée", MK2 VIDEO

Fee
Mot de l'éditeur :
Dom est veilleur de nuit dans un petit hôtel du Havre. Un soir, une femme arrive à l'accueil, sans valise, pieds nus. Elle s'appelle Fiona. Elle dit à Dom qu'elle est une fée et lui accorde trois souhaits. Le lendemain, deux voeux sont réalisés et Fiona a disparu. Mais Dom est tombé amoureux de la Fée Fiona...

Frédéric Sojcher, "Manifeste du cinéaste", Klincksieck

Cineaste
Mot de l'éditeur :
Quels rapports entre scénario et mise en scène ? Entre fictions et documentaires ? La direction d'acteur, mythe ou réalité ? Quelles tensions et quelle harmonie avec l'équipe ? Pourquoi chaque film est un combat dont l'issue est incertaine ? Quels moyens pour quels films ? Internet et le numérique : une chance à saisir ? Quels publics ?

Barbara Hendricks, "Ma voie", Les Arenes

Hendricks
Mot de l'éditeur :
« Je suis née dans le sud des Etats-Unis : la ségrégation ne nous permettait pas d’aller dans le mêmes écoles, les mêmes bus, les mêmes restaurants que les Blancs. Mon père était pasteur, ma mère institutrice. Nous n’avions pas beaucoup d’argent. Mes premiers chants furent les negro spirituals, la musique des esclaves. Un jour, un bienfaiteur m’a entendue à la messe. Grâce à lui, j’ai rencontré Miss Tourel, mon professeur de chant. Mon destin a basculé. »

Comment la petite fille aux pieds nus de l’Arkansas issue d’un monde « interdit aux Negroes » a conquis les plus grandes scènes internationales ? Barbara Hendricks raconte son parcours hors du commun : son enfance, son travail avec Karajan, Bernstein, les coulisses de l’opéra, son combat pour les droits de l’Homme, ses rencontres avec Mitterrand, Clinton, Maria Callas, Aung Sung Suu Kyi.
A travers ce destin de femme libre, de chanteuse, de militante et de mère, Barbara Hendricks a tracé sa voie.

« Sa voix a retenti dans les salles d'opéra, mais aussi vibré dans la cathédrale de Dubrovnik assiégée. Elle a réconforté les enfants des camps de réfugiés africains, ou ceux des ghettos new-yorkais... Barbara Hendricks est une voix, au double sens du mot. Pour elle, engagement artistique et humanitaire sont étroitement liés. A mille lieues du monde des Castafiore, elle a inventé la cantatrice moderne, conjuguant droit d'ingérence et «Requiem» de Fauré. Elle est tout entière possédée par son art. » L’EXPRESS

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Guy Conde-Reis présente, Jacqueline Aubenas, "Le cinéma des frères Dardenne ", Renaissance Du Livre

Dardennes
Mot de l'éditeur :
Réalisé sous la direction de Jacqueline Aubenas, cet ouvrage collectif, publié aux éditions Luc Pire, retrace chronologiquement la carrière des frères Dardenne et leur filmographie, de leurs premiers pas de cinéastes à leur dernier opus, "Le silence de Lorna". Il se veut également une analyse de leur oeuvre et parcourt les différentes étapes de la fabrication d'un film, de l'écriture à la production, des repérages au montage, de la direction des acteurs au tournage proprement dit.

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