Le Mot de l'éditeur :
« 4 mars 2012 - 10 mars 2012 | Accueil | 18 mars 2012 - 24 mars 2012 »
Le Mot de l'éditeur :
Le Mot de l'éditeur :
En résumé :
En explorateur privilégié et arpenteur insatiable des belles contrées de notre pays, Philippe Soreil revient sur les traces de ses premières amours avec ce beau livre égrenant les villes et villages de Wallonie qui ont marqué son enfance.
Mélange de photographies, d'aquarelles et d'anecdotes savoureuses, cet ouvrage raconte avec tendresse les beautés naturelles et humaines de nos campagnes, le parfum des terres, mais aussi les rencontres
qui ont construit l'identité du présentateur.
C'est à ce voyage d'aujourd'hui et "de son temps" que Philippe Soreil nous invite. Elle est énigmatique, ma Wallonie, celle qui m’habite à l’intérieur.
Suis-je belge, wallon ou liégeois ? D’où suis-je et pourquoi ? Non que cette question me hante car je me sens d’abord citoyen du monde, mais j’aimerais savoir si ma Wallonie, celle qui m’a bercé, tout comme elle a bercé mes parents et grands-parents, a contribué à faire de moi ce que je suis.
Je rêvais ce livre depuis longtemps. Petit-fils de poète-écrivain et d’une prodigieuse grand-mère conteuse, j’avais de la peine à dessiner ce rêve avec mes mots à moi. Complexe ou fragilité ? Manque d’audace ou excès de paresse ? Je voulais sans nul doute un livre différent, un livre bleu. Bleu ardoise… comme la couleur de mon enfance.
Assez tôt, j'ai compris que je n'allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m'installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie.
J'ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal.
Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j'ai tâché d'être heureux.
Je crois y être parvenu.
Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à la vie.
Et si la liberté consistait à posséder le temps ?
Et si le bonheur revenait à disposer de solitude, d'espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ?
Tant qu'il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu.
Écrivain, journaliste et grand voyageur, Sylvain Tesson est né en 1972. Après un tour du monde à vélo, il se passionne pour l'Asie centrale, qu'il parcourt inlassablement depuis 1997. Il s'est fait connaître en 2004 avec un remarquable récit de voyage, L'Axe du loup (Robert Laffont). De lui, les Éditions Gallimard ont déjà publié Une vie à coucher dehors (2009) et, avec Thomas Goisque et Bertrand de Miollis, Haute tension (2009).
Lorsqu’il est convaincu que Jean–Paul Ier sera nommé pape, l’abbé Lunghi, secrétaire à la banque du Vatican, est pris de panique : le futur pontife a annoncé que s’il accédait à la magistrature suprême, il remettrait de l’ordre dans les finances romaines gangrenées par des connexions louches avec la loge P2 et la mafia.
Afin d’échapper à cette moralisation des avoirs du Saint-Siège, l’abbé Lunghi va faire un pacte du diable avec un banquier genevois, Marcel Bonnivard, un ami chez qui il abritera un trésor de guerre de plusieurs centaines de millions de dollars, logés au Liechtenstein dans la Fondation de la providence.
Le 28 septembre 1978, Jean–Paul Ier meurt très opportunément après 33 jours et 6 heures de pontificat. Les affaires de Vatican S. A. peuvent reprendre comme avant. Grâce à son intervention efficace, l’abbé Lunghi accélère sa carrière sous les ors du Vatican et se retrouve vite évêque, puis cardinal. Bonnivard, quant à lui, peut s’adonner tranquillement à la gestion de sa clientèle et, côté loisirs, à l’accroissement d’une magnifique collection d’automates.
Quelques années plus tard, un nouvel associé de Bonnivard et Cie, cédant aux sirènes de la cupidité, se lance dans une spéculation hasardeuse et met la banque au bord de la faillite. Faisant taire ses scrupules, Marcel Bonnivard veut utiliser l’argent du Bon Dieu pour éviter la catastrophe, mais il a négligé un détail : le vrai bénéficiaire des fonds de la Fondation de la providence n’est pas le Vatican, mais la « Pieuvre » incarnée par Vito Scarzalesi, un dangereux capo mafieux. Le bilan de la fausse manœuvre du Suisse s’avérera terrible et sèmera la mort sur les rives du Léman.
En 2010, Claudio Pellegrino, un jeune paumé corse reçoit la visite d’un passeur suisse en mission à Bonifacio, il est loin de se douter où va le mener le contenu du paquet de papier kraft qu’il lui remet. Louise Rondot, modèle nu pour peintres, va lui rappeler que personne n’échappe à son passé, même lointain.
Il s’agit ici d’un thriller, lié à d’obscurs trafics d’argent et à la mafia, qui se déroule dans les milieux proches du Vatican. Argent et pouvoir, morts suspectes et mystère, sexe et secrets peu à peu révélés : tous les ingrédients sont là pour un récit riche en rebondissements.
Ce roman, le sixième de Jean-Louis du Roy, qui confirme avec L’Argent du Bon Dieu son talent d’auteur à suspense.
Au cœur d’un New York insomniaque, un roman éblouissant sur l’art, le désir, le couple, la mort. Le grand retour de Michael Cunningham pour une œuvre d’une douloureuse beauté.
Peter et Rebecca Harris ou le couple new-yorkais par excellence : lui est galeriste, elle est éditrice, ils ont la quarantaine fringante, un superbe loft à Soho, une fille en route pour l’université, des amis brillants. En un mot, la quintessence de la réussite et du bonheur.
Jusqu’à l’arrivée de Mizzy, le frère de Rebecca, jeune beauté androgyne de vingt-trois ans au charme ambigu.
Fasciné, envieux de la liberté de Mizzy, troublé par ce prince gracieux et décadent qui lui rappelle tant son défunt frère, Peter va tout remettre en question, ses artistes, sa carrière, son mariage, le monde qu’il avait mis tant de soin à se construire…
L’ouverture progressive de la Palestine à l’Occident depuis les années 1830, qui se manifeste notamment par la création des premiers consulats étrangers à Jérusalem, attire vers la région des milliers d’Européens. Parmi ces pionniers de la démocratisation du voyage – des écrivains, des artistes, des archéologues, des négociants, des militaires, des missionnaires, des fidèles et autres prêcheurs –, plusieurs ont pris soin de publier leurs souvenirs à leur retour en Europe.
Si la vénération des Lieux saints continue de tenir une place importante dans leurs récits, force est de constater que la plupart de ces voyageurs ont aussi l’ambition de rendre compte de l’environnement géographique et ethnographique de la Palestine, de faire part de leurs découvertes et observations personnelles, d’associer le lecteur à leurs émotions et le divertir par des anecdotes survenues au cours de l’expérience itinérante.
Le Mot de l'éditeur :
Le Mot de l'éditeur :
Larry Darrell, jeune américain idéaliste, renonce à un mariage d’amour pour aller voir le monde, sans trop savoir ce qu’il cherche. Délaissée, sa fiancée Isabel Bradley choisit la sécurité : elle se marie avec Gray et s’installe dans le confort d’une vie bourgeoise. À chacun des retours de Larry, elle n’aura pourtant de cesse de tenter de reconquérir cet ancien fiancé toujours en partance. De Paris à la Chine, de la Birmanie à l’Espagne, il s’essaye aux métiers les plus pénibles, vivant à chaque fois des expériences nouvelles et parfois déroutantes.
William Somerset Maugham est né en 1874 à l’ambassade britannique de Paris. Il est l’auteur de nombreux romans, pièces de théâtre et nouvelles. Il est mort en 1965 à Nice.