Mot de l'éditeur : Savoir lire les expressions du visage et le langage du corps vous permet dans 90 % des cas de détecter avec exactitude un mensonge.
Mimiques, intonations de la voix, gestuelle : tous ces signes trahissent le menteur. Et si la plupart des gens échappent à la détection, c'est souvent parce que les cibles de leurs tromperies ne savent pas les repérer.
Grâce à ce livre, entraînez-vous à observer et à déchiffrer les indices qui révèlent que quelqu'un vous ment ou vous manipule.
Découvrez également l'analyse des tromperies les plus incroyables grâce à la technique élaborée par le Dr Paul Ekman et utilisée par le FBI et la CIA.
Mot de l'éditeur : Vous souhaitez en savoir plus sur le mentalisme et sur les techniques qui feront de vous une nouvelle personne ? Vous avez entre les mains le guide que vous recherchiez ! Célèbre mentaliste, Bastien Bricout a écrit Devenez mentaliste pour toutes celles et tous ceux qui veulent apporter des changements positifs à leur vie, grâce à des méthodes simples et efficaces.
Pénétrez dès maintenant dans l'univers du mentalisme et découvrez comment : améliorer votre confiance en vous-même et éliminer votre stress ; mieux vous connaître et décoder le comportement de n'importe qui ; contrôler votre sommeil et neutraliser vos peurs ; accéder à volonté à des états profonds de relaxation ; pratiquer l'autohypnose pour supprimer vos mauvaises habitudes et accroître vos potentiels ; décrypter le langage non verbal ; déjouer les manipulations ; convaincre et faire bonne impression en quelques minutes ; développer votre intuition.
Grâce aux outils du mentalisme, comme la PNL et l'hypnose, vous allez devenir maître de votre vie et de votre destinée.
Mot de l'éditeur : Quels rapports entre scénario et mise en scène ? Entre fictions et documentaires ? La direction d'acteur, mythe ou réalité ? Quelles tensions et quelle harmonie avec l'équipe ? Pourquoi chaque film est un combat dont l'issue est incertaine ? Quels moyens pour quels films ? Internet et le numérique : une chance à saisir ? Quels publics ?
Mot de l'éditeur : La bécasse est un petit reporter intemporel et atypique. Sa supposée naïveté lui permet de dire tout ce qu'elle pense aux grands de ce monde - avec indignation, insolence ou humour. Elle parcourt la Terre entière, se glisse dans la peau de chacun et tente de déceler, chez les puissants, les ressorts secrets qui font l'Histoire. Elle vit cent vies et ne sait plus, à certains moments, qui elle est tant la violence du monde bouleverse ses certitudes. De 2001 à 2011, de l'attentat du World Trade Center à la mort de Ben Laden, dix ans d'Histoire et d'émotions la traversent, qu'elle métamorphose sur la page. Au lecteur de lui donner forme et visage. Ces textes impertinents, parus dans différentes revues, sont réunis ici pour la première fois en un recueil. Ironiques, drôles, parfois féroces, ils s'adressent à tous.
Mot de l'éditeur : Boualem Sansal vit en Algérie. Il a publié aux Éditions Gallimard quatre romans, Le serment des barbares (collection blanche, 1999, Folio n° 3507), L’enfant fou de l’arbre creux (collection blanche, 2000, Folio n° 3641), Dis-moi le paradis (collection blanche, 2003) et Harraga (collection blanche, 2005, Folio n° 4498) et un essai, Poste restante : Alger (Hors série Connaissance, 2006).
Mot de l'éditeur : Paru en 1755, le Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes peut être considéré comme la matrice de l'oeuvre morale et politique de Rousseau : il y affirme sa stature de philosophe, l'originalité de sa voix, la force de son "système". Résoudre le problème posé par l'Académie de Dijon - "quelle est la source de l'inégalité parmi les hommes et si elle est autorisée par la loi naturelle ?" -, en d'autres termes expliquer que riches et puissants dominent leurs semblables sur lesquels ils n'ont pas de réelle supériorité, exige aux yeux de Rousseau de poser à nouveaux frais la question "qu'est-ce que l'homme ?". Pour cela, il faut comprendre comment s'est formée sa "nature actuelle", si éloignée de ce que serait son état de nature : "Si je me suis étendu si longtemps sur la supposition de cette condition primitive, c'est qu'ayant d'anciennes erreurs et des préjugés invétérés à détruire, j'ai cru devoir creuser jusqu'à la racine...".
Mot de l'éditeur : Toi, Cécile Kovalsky, premier roman de Marianne Sluszny, évoquait une légende familiale et le malheur d’une diaspora juive émigrée à Bruxelles, moins intégrée qu’elle ne le croyait. Marianne Sluszny revient sur ces thèmes dans Le Frère du pendu.
Thomas, jeune cinéaste désespéré par sa rupture avec Rivka, ?lle de juifs orthodoxes, découvre dans un coffre lui appartenant une série de cahiers racontant la vie d’un aïeul de son ex-?ancée, un certain Meier, né en 1880 à Siedlice en Pologne. Il se passionne pour l’existence de cet homme, éternel exilé, révolté par la pendaison de son frère Saul par les cosaques en 1905, et décide de réaliser un ?lm sur le destin mouvementé de ce personnage.
Mot de l'éditeur : « Pourquoi une femme qui a vécu des difficultés avec sa belle-mère ne peut-elle entamer avec sa bru une relation dénuée de conflits ? Pourquoi deux femmes, instruites par l’expérience commune de la maternité et se prévalant de l’amour qu’elles ressentent, ne peuvent-elles faire preuve, sinon de solidarité ou de complicité, du moins d’une certaine tolérance ? Pourquoi une mère qui, toute sa vie, a dispensé affection et amour à son fils ne peut-elle supporter la femme qui aime son fils et qu’il a choisi d’aimer ? Pourquoi une femme qui apprécie, investit et aime un homme supporte-t-elle mal la mère avec laquelle cet homme a fabriqué sa perception de l’amour ? Pourquoi de telles dissensions depuis toujours et où que ce soit dans le monde ? Et qu’en est-il des belles-mères et de leurs gendres ? Et des beaux-pères et de leurs gendres et de leurs brus ? Et puis, que dire des brus et des belles-mères qui s’entendent ? Sans compter que ces personnages, avec leurs humeurs, leurs tocades, leurs comportements parfois déroutants, partagent, parfois, sinon le plus souvent, la condition de grands-parents. Quelle est leur place ? Quel est leur rôle auprès de leurs petits-enfants ? Que doit-il être ? » A. N. ?Aldo Naouri a exercé la pédiatrie pendant quarante ans. Il est l’auteur de nombreux ouvrages dont certains (Une place pour le père, Les Filles et leurs Mères, Les Pères et les Mères, Adultères, Éduquer ses enfants, L’enfant bien portant) ont eu un succès retentissant et sont devenus des références.
Mot de l'éditeur : Récit-mosaïque ou promenade éclairée, chaque court chapitre de ce livre graphique contribue à apporter un élément de réponse à la question fondamentale : Qu'est-ce qui nous rend heureux ?
Mot de l'éditeur : « Je suis née dans le sud des Etats-Unis : la ségrégation ne nous permettait pas d’aller dans le mêmes écoles, les mêmes bus, les mêmes restaurants que les Blancs. Mon père était pasteur, ma mère institutrice. Nous n’avions pas beaucoup d’argent. Mes premiers chants furent les negro spirituals, la musique des esclaves. Un jour, un bienfaiteur m’a entendue à la messe. Grâce à lui, j’ai rencontré Miss Tourel, mon professeur de chant. Mon destin a basculé. »
Comment la petite fille aux pieds nus de l’Arkansas issue d’un monde « interdit aux Negroes » a conquis les plus grandes scènes internationales ? Barbara Hendricks raconte son parcours hors du commun : son enfance, son travail avec Karajan, Bernstein, les coulisses de l’opéra, son combat pour les droits de l’Homme, ses rencontres avec Mitterrand, Clinton, Maria Callas, Aung Sung Suu Kyi. A travers ce destin de femme libre, de chanteuse, de militante et de mère, Barbara Hendricks a tracé sa voie.
« Sa voix a retenti dans les salles d'opéra, mais aussi vibré dans la cathédrale de Dubrovnik assiégée. Elle a réconforté les enfants des camps de réfugiés africains, ou ceux des ghettos new-yorkais... Barbara Hendricks est une voix, au double sens du mot. Pour elle, engagement artistique et humanitaire sont étroitement liés. A mille lieues du monde des Castafiore, elle a inventé la cantatrice moderne, conjuguant droit d'ingérence et «Requiem» de Fauré. Elle est tout entière possédée par son art. » L’EXPRESS