Mot de l'éditeur :
"Il y a trois façons de voir l’amour : la bonne, la mauvaise, la mienne."
"Le coeur parle moins que les hormones, pourtant c’est lui qu’on devrait écouter."
"Méfiez-vous d’une femme qui avoue son âge. Elle est capable du pire."
Femme du monde, séductrice, prêtresse du savoir-vivre et des bonnes
manières, Nadine de Rothschild est aussi "philosophe" à ses heures. Sa
sagesse tient en peu de mots : plaisir, élégance, esprit. Un épicurisme
fondé sur le bon sens et l’expérience. Dans ce petit livre de pensées
aussi mordant qu’ironique, elle nous invite à partager les
enseignements d’une vie bien remplie. Avec le sourire.
Mot de l'éditeur :
Le développement de la science, de la technologie et de l'industrie, en
Europe, au cours des XIXe et XXe siècles, est sans précédent. Il a fait
passer le monde de la traction chevaline au TGV à plus de 500 km/h, et
du feu de bois à l'énergie nucléaire. Les Belges ont-ils pris part à
cette grandiose aventure ? N'ont-ils inventé que la dynamo-électrique
(Zénobe Gramme) et conçu que la théorie cosmologique du Big Bang
(Georges Lemaître) ? Un historien des sciences, qui est aussi
philosophe, nous révèle que l'histoire de la science et de l'industrie
chez les Belges fut celle du rapport entre l'intelligence et l'argent,
entre l'ambition et la volonté, entre souvent le hasard et la
nécessité. Grandes familles et intérêts financiers, luttes sociales et
idéologiques, enjeux politiques et déterminismes géographiques... Il
nous montre que la Belgique, véritable "concentré d'Europe", joue un
rôle non négligeable dans l'avènement de la modernité scientifique et
technique, et qu'en somme la science c'est aussi, une fois, une
histoire belge.
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Mot de l'éditeur :
Il y a mille choses à dire sur les fesses. Il y en a tant à montrer.
Elles sont souvent si belles. Qu'elles fassent parler d'elles ou
qu'elles inspirent des œuvres d'art, elles font l'objet d'innombrables
représentations depuis la nuit des temps et sur tous les continents.
C'est justement à travers ces représentations que ce livre traquera la
face cachée des fesses. Car les fesses permettent de revisiter toute
l'histoire de l'art, et même, - sans prétention ! -, de l'humanité.
Du musée du Louvre au musée des Beaux Arts, de la rue à la plage, ce
livre mettra à nu nos fantasmes collectifs, qui ont trouvé si souvent à
se projeter sur l'écran rebondi des fesses !
Entre histoire de l'art et psychanalyse, entre sociologie des images
publicitaires et sémiologie, en étant sérieux mais aussi ludiques, avec
une touche d'esprit libertin, nous suivrons les fesses dans ce qu'elles
nous disent des fondements (au sens propre comme au figuré) de notre
société, de ses tabous et de ses désirs.
Les auteurs : Caroline Pochon et Allan Rothschild
Tout d'abord il est important de savoir qu'il n'y a pas d'histoires de fesses entre Caroline Pochon et Allan Rothschild.
En fait, tout a commencé le jour où Allan découvre un texte sur les
fesses écrit par un auteur indiscutablement inspiré. Il décide de le
rencontrer.
Et là, surprise, c'est une fille, c'est Caroline.
Lors de leur première rencontre, ils ne parlent que de Fesses et de Cul
mais avec un F et C majuscule. Ils se rendent compte que le sujet est
foisonnant et passionnant et décident de se lancer ensemble dans la
réalisation d'un documentaire pour Arte, un peu "classe" et jamais
graveleux intitulé "la face cachée des fesses".
En 1985, à 15 ans, Caroline Pochon tombe dans la grande marmite du
cinéma. Elle est Martine dans Conseil de Famille de Costa Gavras.
S'ensuivent des études à la FEMIS, département scénario, puis de
nombreuses collaborations à l'écriture, en particulier avec François
Margolin, Isabelle Boni-Claverie, Florence Martin-Kessler...
En 2004, c'est dans le documentaire que Caroline s'essaie à la
réalisation : "La deuxième femme", documentaire aidé par la bourse
Brouillon d'un rêve et le Ministère des Affaires Etrangères. Le film
diffusé sur TV5 Afrique connaîtra de nombreux festivals (Ouagadougou,
Ouidah, Amiens, Milan, Songes d'une nuit DV...). En 2006, deuxième
documentaire : "UEP122, portraits ouvriers", produit par AMIP, diffusé
sur France 3 et France 3 Normandie.
Aujourd'hui, Caroline Pochon développe de nouveaux projets de
documentaires et s'attache également à écrire une fiction pour le
cinéma inspiré de l'expérience racontée dans le documentaire "La
deuxième femme". Et elle aime parfois mentionner qu'elle est passionnée
d'Afrique et diplômée des langues O en wolof et que quand elle voyage
là-bas, il lui arrive de regarder les fesses des...
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Mot de l'éditeur :
Premier volet d'un diptyque, La Jeune Fille et le nègre est une
histoire d'amour entre Sophie, une jeune belge, étudiante en économie,
et Abou, un demandeur d'asile togolais. Mais, pour une fois, c'est à
travers les yeux d'un père et d'une mère que cet amour-là nous est
conté.
Le sujet sensible des sans-papiers est abordé ici par le biais d'une
chronique familiale. Judith Vanistendael montre comment la méfiance,
voire l'hostilité initiale, s'estompe peu à peu pour faire place à
d'autres sentiments.
La longue marche d'un demandeur d'asile
Sophie, une jeune femme bruxelloise, tombe amoureuse d'Abou, un
demandeur d'asile togolais. Le couple aménage dans la maison des
parents de la demoiselle, qui réagissent à cette idylle avec une
certaine circonspection. Mais quand Abou se trouve menacé d'expulsion,
le mariage apparaît comme l'unique moyen légal qui lui permettra de
rester en Belgique...
Premier volet d'un diptyque, cet album passionnant, largement
autobiographique, relate les événements du point de vue du père de
Sophie, un journaliste spécialisé dans les affaires internationales. Le
deuxième tome, à paraître, reviendra sur les mêmes faits du point de
vue de Sophie elle-même.
Un ouvrage qui traite, avec humour et sans complaisance, du drame des sans-papiers et des réfugiés politiques.
Un talent héréditaire
Judith Vanistendael est la fille du célèbre écrivain, poète, essayiste
bruxellois Geert van Istendael. Née à Louvain, elle a déménagé à
Bruxelles à l'âge de cinq ans.
Après des études à Sint-Lukas dans la classe de Johan De Moor et Nix,
elle a fait un début remarqué dans la bande dessinée avec De maagd en
de neger (titre original de La Jeune fille et le nègre), paru chez Oog
& Blik en 2006. Geert van Istendael s'est, pour sa part, libéré de
ses sentiments à l'égard de cette expérience familiale dans la nouvelle
Bericht uit de burcht.
Mot de l'éditeur :
Cette oeuvre, qui est à la fois roman, histoire, poésie, a été saluée
par la critique française et mondiale comme un événement littéraire. En
imaginant les Mémoires d'un grand empereur romain, l'auteur a voulu
"refaire du dedans ce que les archéologues du XIXe siècle ont fait du
dehors". Jugeant sans complaisance sa vie d'homme et son oeuvre
politique, Hadrien n'ignore pas que Rome, malgré sa grandeur, finira un
jour par périr, mais son réalisme romain et son humanisme hérité des
Grecs lui font sentir l'importance de penser et de servir jusqu'au bout.
"... Je me sentais responsable de la beauté du monde", dit ce héros
dont les problèmes sont ceux de l'homme de tous les temps : les dangers
mortels qui du dedans et du dehors confrontent les civilisations, la
quête d'un accord harmonieux entre le bonheur et la "discipline
auguste", entre l'intelligence et la volonté.
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Mot de l'éditeur :
L'Eden Engloutie :
Dans L'Éden englouti, prélude à Rouge décanté, Brouwers se souvient de
tempo dahulu, le paradis perdu des Indes néerlandaises qui dans son
souvenir sont devenues « le pays des rêves ». Il y évoque son enfance
merveilleuse, marquée par la présence de sa mère souveraine et celle de
son formidable grand-père musicien, avant l'invasion japonaise des îles
de la Sonde. Ce « temps de sa somnolence », où il était encore en bas
âge, fut partagé entre l'épanouissement de ses sens devant le spectacle
fascinant de la nature indonésienne et l'apprentissage du langage,
crucial pour cet écrivain-né. Il prit fin brutalement lorsque Jeroen
fut incarcéré au camp de Tjideng avec sa mère, sa grand-mère et ses
sœurs.
Rouge décanté :
Rouge décanté est une évocation incantatoire des deux années de la
Seconde Guerre mondiale que Brouwers a passées au camp de Tjideng, à
Batavia, durant l'occupation japonaise de l'Indonésie néerlandaise,
avec sa mère, sa grand-mère et sa petite sœur. Témoin de scènes
effroyables, Jeroen Brouwers, qui y resta de quatre à six ans, ne
faisait pas alors la part du bien et du mal. Ni le rire ni la
fascination pour les Japonais ne sont absents de ces visions d'enfant.
Le portrait de sa mère est celui d'une femme admirable, quoique jamais
héroïque. Tout le texte est, non seulement un éloge à son courage, à sa
beauté, au sourire dont elle ne se défait jamais, mais aussi, sous
couvert d'impassibilité, un magnifique et douloureux témoignage
d'amour.
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