Mot de l'éditeur :
Derrière la colline n’est pas un roman historique même s’il a pour cadre la Grande guerre. Il n'est pas seulement non plus une formidable évocation du quotidien des tranchées ou de l'horreur de la bataille de la Somme où la vie, les angoisses des combattants sont évoquées avec beaucoup de réalisme mais il montre combien les rapports humains occupent une place importante.
Au début de l’été 1948, dans un village de la Somme, un homme que tout le monde appelle « l’Angliche » pense à la visite qu’il fera le lendemain 1er juillet au cimetière. Il se souvient précisément de ce jour... L’on revient alors en arrière, au point de départ, à Londres en août 1914. Au monologue intérieur du survivant de la Grande Guerre succède alors un autre récit à la première personne, tenu par un certain Nigel Parsons.