Mot de l'éditeur : Troisième et dernier tome de la plus juste des chroniques adolescentes : après Celle que je ne suis pas et Celle que je voudrais être, Valentine semble la première à pouvoir dire « celle que je suis ». Peut-être saura-t-elle concilier ses différents groupes d’amis, parler à Félix sans rougir, partager son temps entre les mangas, le hip-hop et, accessoirement, le bac français ? Une grande réussite : les ados se sentiront enfin compris et les adultes se souviendront de ces années de formation bien chaotiques !
Mot de l'éditeur : Je crois que la seule chose que nous pouvons faire est d'aller au nord et essayer de sauver Erika et Raposa, en espérant qu'elles soient encore vivantes.
Mot de l'éditeur : Martin Terrier était pauvre, esseulé, bête et méchant, mais pour changer tout ça, il avait un plan de vie beau comme une ligne droite. Après avoir pratiqué dix ans le métier d'assassin, fait sa pelote et appris les bonnes manières, il allait rentrer au pays retrouver sa promise et faire des ronds dans l'eau... Mais pour se baigner deux fois dans le même fleuve, il faut que beaucoup de sang passe sous les ponts.
Mot de l'éditeur : Sean, frère jumeau du journaliste Jack McEvoy, est retrouvé mort au volant de sa voiture de police. Le suicide ne fait aucun doute : Sean n'aurait pas supporté d'avoir échoué dans une enquête sur un crime sadique. Mais Jack n'y croit pas, et plusieurs indices demeurent inexpliqués. Le jour de sa mort, notamment, Sean devait voir un certain Rusher, qu'on n'a pas retrouvé...
Jack rouvre le dossier. Il découvre que d'autres policiers se sont suicidés après avoir, eux aussi, échoué dans des enquêtes similaires. Une première conclusion s'impose : il y a eu meurtre et l'on a peut-être affaire à un tueur de flics particulièrement redoutable.
Mot de l'éditeur : Alors que s’achève au Val d’Annifer la construction du plus grand barrage d’Europe, Saint-Loup, un petit village proche, est victime d’attentats mystérieux, dont le dernier est le dynamitage du pont qui le relie à la vallée. Désireux d’éviter que la police ne s’en mêle, le maire fait appel à Lefranc pour résoudre le problème. Ce dernier accepte et entame son enquête, mais les attentats continuent, chaque fois signés d’une tête de loup tracée au fusain, et accompagnés d’un rire sinistre qui résonne dans la montagne. Lefranc a son attention attirée par un bâtiment “posé comme un morceau de sucre sur une montagne”. Il apprend qu’il s’agit d’un hôtel construit par des anglais amoureux de la montagne, mais qui furent ruinés car, comme le dit le maire, “il fallait être maboul pour construire un hôtel là, sans disposer de remontée mécanique”. Pressentant que la clé de l’énigme réside entre les murs de cette bâtisse, Lefranc décidera de s’y rendre, mais tout se liguera pour l’empêcher d’approcher de trop près une triste et sordide vérité.
Mot de l'éditeur : Le grand duc Printemps 1945. Pour la Luftwaffe, c'est l'hallali! Taillées en pièces sur tous les fronts, les ailes allemandes ne peuvent lutter contre un ennemi implacable, résolu et surtout innombrable. Tout ce qui vole encore se concentre désormais sur la ligne de défense du Reich, dont l'arrogant Empire se réduit chaque jour telle une peau de chagrin... Brisé par la mort de sa fille, Wulf enchaîne les missions avec une frénésie paroxystique et suicidaire. Pour Lilya, la "sorcière rouge", c'est l'heure du triomphe ! Mais si, en combat aérien, seul le diable tire les ficelles... parfois, Cupidon s'en mêle !
Loin de Chandigarh L'Inde du Nord à la fin des années 1990. Un journaliste et sa femme, Fizz, partagent, depuis quinze ans, une intense passion, très sensuelle, très charnelle. Jusqu'au jour où, dans leur maison accrochée aux contreforts de l'Himalaya, le narrateur découvre soixante-quatre épais carnets, le journal intime et impudique d'une Américaine, Catherine - ancienne propriétaire des lieux -, dont la lecture va peu à peu détruire son couple...
Mot de l'éditeur : La suite tant attendue de la BD culte de Yslaire ! Skyvore island, mai 1857. Au cœur de la tempête, La Désirée fend les flots au large de l'Irlande. À son bord, des bagnardes enchaînées qui en échange d'une remise de peine ont accepté de s'exiler à Cayenne. Parmi elles, le matricule 3492, alias Julie Saintange, s'abandonne à la mélancolie. Les souvenirs de Bernard Sambre se disputent à ceux de Bernard-Marie, leur enfant commun. Le premier est mort, le second lui a été volé… Quand soudain, éventré par un récif, le bateau sombre dans une mer démontée. Malgré ses chaînes, Julie survit à la noyade. Elle échoue au pied d'un phare perdu en pleine mer. Adam Scott Shagreen, le gardien des lieux, lui offre l'hospitalité dans ce qu'il appelle son purgatoire et l'accueille avec ces mots : «Vous êtes une miraculée…» Mais, comme en écho, dans la pénombre, Julie entend la voix du fantôme de Bernard qui lui demande… « Pourquoi as-tu survécu, Julie ? Tu ne m'aimes plus ? »
Sambre est une série à part dans l'univers de la bande dessinée. Dès sa sortie, le premier album a franchi la barre des 100 000 exemplaires, raflé nombre de prix internationaux et suscité les louanges des professionnels. Le second album, publié quatre ans plus tard, confirma le succès initial. Pour la première fois depuis les Blake et Mortimer de Jacobs, une série voit son succès croître sans devoir passer par le biais d'une parution régulière. Telle est la marque Sambre qui s'inscrit, album après album, comme l'œuvre d'exception d'un artiste majeur. Le sixième album sera donc l'événement BD du premier semestre 2011
Mot de l'éditeur : « Je mens… Je suis en feu, je suis gris, lourd, crasseux, mais je suis en feu. » Un homme seul dort dans les bois. Masse inouïe de plus de 150 kilos, il est parti un beau matin, laissant sa vie d’avant, à la recherche du blast, ce court instant de perfection, flash improbable, qui survient parfois, lorsque, oubliant sa graisse, il parvient à voler. Après un premier tome prix des libraires 2010, Manu Larcenet signe un immense roman graphique, noir et âpre, d’un humanisme bouleversant.
Mot de l'éditeur : Berceuse assassine, la trilogie culte scénarisée par Philippe Tome qui nous a fait découvrir le grand talent du dessinateur Ralph Meyer ! On envie ceux qui vont découvrir ce scénario pour la première fois : une histoire à trois voix, chaque tome de ce triptyque ayant un narrateur différent. Un polar extrêmement intelligent, des personnages noirs, très noirs, détruits par la vie et la ville, un dessin incroyable. Assurément l’un des meilleurs polars de la bande dessinée !